Connu sous le nom de « lucha libre » en Bolivie, le catch s’est fait un nom dans la ville d’El Alto, en périphérie de la Paz.
Comme son nom l’indique, il s’agit de combats, où la seule règle est qu’il n’y a pas de règle ; en résultent une violence et une brutalité qui n’ont d’égal que la technicité et la précision des chorégraphies.
L’autre caractéristique de ce sport sont les costumes que portent les catcheurs : les hommes entrent en grandes tenues traditionnelles, bariolées.
Les femmes, quand à elles, sont appelées « Cholitas » (qui vient de chola, ce qui veut dire paysanne, campagnarde, parfois ayant un sens péjoratif et méprisant, mais qui commence à se populariser) : parfois très sages et parfois provocantes, les tenues que portent ces femmes attirent de plus en plus de monde sur les estrades autour du ring.